Inspirée par plusieurs voyages au Mexique, où elle a participé régulièrement aux Danses de la Lune sous la houlette bienveillante de l’Abuela Malinalli, du cercle Ollintlahuimetztli de Mexico, la conteuse Sophie Chenko a eu envie de continuer le voyage, et surtout, de partager...
Elle s’est immergée dans la culture toltèque et ses rituels, dont La Danse de La Lune, issue d’un rite agraire très ancien. Cette cérémonie, où la voix chantée au rythme des tambours prédomine, est très ancrée dans le présent. Elle a su traverser les siècles, survivre ; parfois dans le secret, pendant la conquête espagnole par exemple. Coyolxauqui, la femme démembrée, y est prégnante. Cette figure mythique, qui a littéralement refait surface dans les années 70 suite aux travaux du métro, pourrait bien être le reflet de la femme moderne…
Le spectacle mêle récits de vie, mythes et légendes, chants et contes populaires traditionnels. Il évoque également une autre grande femme, l’artiste mexicaine Frida Kahlo.
Ni SACEM ni SACD.